... la galerie aux 100 lieux.
Quelle est-elle ?
La Galerie sans lieu est née d'un désir et d'une observation : le désir de donner à voir le travail d'artistes divers.es, et la multiplication des lieux non-conventionnels accueillant des expositions.
Mon objectif était de créer la rencontre afin de générer des opportunités pour investir ces espaces de propositions artistiques.
La Gsl témoigne de ces rencontres et est conçue comme une vitrine pour les artistes représentés. C'était un seuil à franchir vers un réseau virtuel et des expos bien réelles.
Qui suis-je ?
Travaillant en étroite collaboration avec les artistes, je ne me définissais pas comme commissaire, parce que les modalités de l'échange varient d'une personne à l'autre, et que je suis attachée au respect de la parole de l'artiste, qui primera toujours sur la mienne.
Impliquée dans l'association Le 188, plateforme culturelle à Lille, j'y ai porté le projet 188EXPOSITIONS, dont le premier objectif était de promouvoir l’œuvre d'artistes émergent·es.
Ce projet fut le point de départ d'une réflexion plus globale sur ce que j'appelle les « lieux d'exposition secondaires », sur lesquels j'ai mené une étude sous la direction de Cécilia Hurley-Griener à l’École du Louvre.
Après un cursus entre histoire de l'art, esthétique et philosophie, j'ai choisi de me vouer à l'art en train de se faire.
Ce site est une archive de ce que j'ai esquissé à cette fin.